À Orléans, en l’an 2222, la ville ne vibrait plus que sous le chant grave des dispositifs. L’air lui-même semblait scellé dans un éternel vacarme de métal, rompu seulement par le chuintement des véhicules autonomes et les murmures codifiés des interfaces holographiques. Dans ce décor ultramoderne, un lieu jurait avec https://kameronrzehj.suomiblog.com/les-géométries-de-l-avenir-49844467