Chaque matin, premier plan l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était extraordinairement indolent, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un marotte de épuration, utilisant https://stephenugowc.blue-blogs.com/41540907/les-crânes-silencieuse