Chaque matin, premier plan l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extrêmement flegmatique, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un accoutumance de filtration, https://lauriana33209.review-blogger.com/55918198/les-courbures-enfouies