Au racoler du jour, la luminosité traversait l’air sec en fines particules dorées, accentuant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait immobile devant le téléphone satellitaire, encore activé, comme par exemple suspendu à une onde plus passée que la voix humaine. Les derniers mots https://zanderogseo.blogdemls.com/33909524/les-pendules-du-vent