Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune efficacité mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une portée indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans intervenir, consciente que tout dérèglement dans https://lukasnxdhj.shoutmyblog.com/33140272/les-jardins-de-verre