La nuit s’étirait marqué par une voûte paradisiaque définitif, enveloppant Sybille dans un silence sérieux. La lune, d’un rutilance spectral, s’accrochait aux nuages épars de la même façon qu'un phare solitaires dans l’infini. Elle avançait à travers les ruelles désertes, guidée par une médéore qu’elle ne comprenait pas encore totalement. https://andydlonn.blogsuperapp.com/33514802/les-marées-du-destin-selon-voyance-olivier